Saint-Tropez, 5 adresses testées et approuvées

Saint-Tropez, 5 adresses testées et approuvées

Le best of de la station balnéaire la plus glam'chic

ToSHARE:  la table de Jean Imbert et Pharell Williams

C’était l’évènement de la saison ! La réactualisation du bar de l’hôtel White 1921 (LVMH Hotel Management) avec l’ouverture d’un restaurant convivial, musical et savoureux par deux compères de longue date :  le chef Jean Imbert à la carte (et Diego Alary aux fourneaux) et Pharell Williams pour l’ambiance-déco. Un cocktail détonnant dans un lieu idéalement situé, Place des Lices. Coup de coeur pour les Tomates d’Ici, soit deux tomates bien rouges, bien rondes et pelées, fourrées d’une moelleuse stracciatella et sésame noir. Et coup de foudre pour le Cookie à la Cuillère, aux noix de Pécan. Carte : 50€.

La table, à 80% végétarienne, offre des plats à partager, ceci explique cela, et propose des plats en Click and Collect. Réchauffée par la playlist de Pharell, c’était the place to be à Saint-Tropez, malgré une ambiance générale un peu maussade en cette année si particulière.  toshare.fr


Saint Tropez Lounge Club : VIPS only !

Attention, privé ! Ce lieu très sélect, situé quai de l’Epi, sur le nouveau port, n’accepte que ses membres. Soit les propriétaires de yachts et affiliés. Plus leurs amis. Bref, il faut être adoubé pour prendre un verre et grignoter des tapas raffinés, confortablement installé dans un canapé de la dernière collection Roche Bobois.

L’ensemble étant privatisable, y compris la  Tour Saint- Elme accolée, où le panorama passe à 360°. Le bon spot pour un magique sunset, il est ouvert jusqu’à la fin des Voiles de Saint-Tropez, le 9 octobre. Carte de membre : 2 000€ parking inclus, pour toute la saison. Ou 800€ par mois, sans parking. Tél. : 04 94 56 68 70. portsainttropez.com


Plage 1051 : pour les linguine De Cecco au  homard poêlé

Fait assez rare ici pour être signalé, le terrain, dont 8 hectares de vignes appartient à la même famille depuis 7 générations. Une adresse à découvrir : la Plage 1051 et son restaurant,  qui  jouxte  Moreea  et  Tahiti. Un lieu tranquille, loin de certaines paillotes aussi célèbres que bruyantes.

Atmosphère familiale garantie, déco écolo-chic en bois lavé grisé et  plats locaux et légers, comme on aime en été. Parfois, quand le chef Alain Goince n’est pas là, le fils des propriétaires, Maxime Lamon, qui a fait ses classes à l’école hôtelière Vatel, passederrière les fourneaux, et c’est succulent. Conseil d’amie: commandez les pâtes au homard. Ensuite, il ne reste plus qu’à faire la sieste sur la plage privée, derrière les  canisses. le1051.com


Le Cheval Blanc : l’esprit d’excellence

L’été indien, c’est la période idéale pour rester ou descendre sur la côte et s’offrir une parenthèse bien-être ou beauté avant la rentrée. Pour ça, rendez-vous au Cheval Blanc (LVMH Hotel Management) , même si vous n’y logez pas (ce qui est bien dommage tout de même…) en septembre, pour profiter de trois sessions particulières. Du 9 au 11, au cours de ses « Moments Précieux », Elodie Raheria, artiste du regard et des lèvres comme elle se défini, réalise des miracles : pigmentations des lèvres, soins lift ou extensions des cils issues des dernières technologies, mariées à son savoir-faire. Du 18 au 20, place à une « Parenthèse pour Soi », signée Patrice Le Pihive, ostéopathe et kinésithérapeute de renom, qui a concoté, sur trois jours, un petit programme sympathique. Celui-ci vise à une remise en forme et comprend à chaque fois 1h30 de « Hrim Yoga », plus un massage personnalisé inspiré de l’ayurveda et de l’ostéopathie énergétique.

Enfin, les 20 et 21 septembre,  Ludivine Vitalie, facialiste, mettra votre visage en lumière avec son soin exclusif basé sur le pouvoir des pierres. Autre moment fort à retenir dans cet endroit de rêve, les déjeuners Senteurs et Saveurs, orchestrés par Arnaud Donckele, le chef triplement étoilé de l’hôtel la Vague d’Or, soit 5 saveurs et senteurs, ces dernières étant inspirées par Guerlain, maître du Spa. Et la boucle sera ainsi bouclée. chevalblanc.com


Titamàlà : les bijoux à base de perles

Tita Mercurio fut majordome aux USA, et chef à domicile, avant de se consacrer à sa passion : la création de bijoux à base de perles. Pas n’importe lesquelles, celles en bois de santal ou de rose des chapelets tibétains qu’elle découvrit lors d’un voyage à Katmandou. Elle les collectionne, les mélange à des pierres semi-précieuses, comme le quartz, l’améthyste et la turquoise, les marie à des têtes de mort, des croix et des madones sur des sautoirs ou des bracelets. Le tout, à porter en multi rangs.

Tita vient d’installer son atelier face à sa boutique, dans une ruelle calme hors des artères commerçantes du village. Laura Smet est fan et Johnny avait porté l’un de ses bracelets aux perles de Jaspe, créé alors spécialement pour lui, et qui fait toujours partie des best sellers de la créatrice. D’ailleurs, le sur mesure et les commandes spéciales ont sa préférence… titamala.com

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